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pic by Lara Herbinia

LE VRAI NICK CAVE

THE REAL NICK CAVE isn't your average tribute act. It's a stage phenomenon born from the uncanny resemblance between artist Grégoire Motte (aka Rommelpotman) and the iconic Australian singer Nick Cave – a daily double-take since his teens. Fast forward to 2022, a follicle-fueled conversation with drummer Yannick Dupont Condor ignited a Luciferian endeavor: to adapt and reinterpret Nick Cave, live, in French.

 

Dupont assembled Brussels' finest musical assassins; Motte stepped up to the mic. This isn't fanboy worship; it's the stark, crystalline reflection of a mirror demanding attention. And that's precisely where the distance, the nonchalance, the genuine invention kicks in: This is not a cover band.

Lyrics and music are twisted, turned, and sometimes entirely replaced, fueled by Motte's literary bent and the extraordinary versatility of the supergroup that is THE REAL NICK: Yannick Dupont Condor on drums, Aurélie Muller on bass, Eric Bribosia on keys, and Gil Mortio on guitar.

("From Her to Eternity" now tells the scandalous tale of a Schaerbeek farmer and the first Witloof, a bewitching creature of the night, a market garden Galatea; "The Curse of Millhaven" morphs into a sprawling, grimy dub, and so on.)

Their permissive interpretation and raw, versatile live energy transform THE REAL NICK CAVE into a bizarre dance band with a penchant for jazz and medieval contrafactum.

The band's improvisational streak and the use of local yet utterly strange – perhaps even unique – instruments like the electric rommelpot and the electric beer (a mic'd beer can, single-use per gig) give birth to truly singular and unforgettable concerts.

THE REAL NICK CAVE: it's a concept, it's a performance, it's an Australian barbecue in Walloon Brabant. To truly grasp it, you have to witness the glorious, Gallic weirdness firsthand.

LE VRAI NICK CAVE est une performance scénique qui trouve son origine dans la ressemblance patente entre l’artiste Grégoire Motte (alias Rommelpotman) et le chanteur australien Nick Cave — depuis son adolescence, on lui ressert quotidiennement cette similitude de traits. Un chassé-croisé capillaire plus tard, en 2022, d’une discussion avec le batteur Yannick Dupont Condor naît l’entreprise luciférienne : adapter et réinterpréter Nick Cave, sur scène, en français.

Dupont rassemble les meilleur·es musicien·nes de Bruxelles, Motte va chanter.

Ce projet ne résulte pas d’une admiration dévote mais d’un choc cristallin et froid : l’impérieuse réflexion d’un miroir. 

C’est précisément cela qui permet une prise de distance, une certaine désinvolture, une véritable invention : This is not a cover band

Les textes et la musique sont, selon les morceaux, adaptés ou remplacés, au gré de la pratique littéraire de Motte et de la souplesse extraordinaire du supergroupe qui constitue LE VRAI NICK : Yannick Dupont Condor à la batterie, Aurélie Muller à la basse, Eric Bribosia aux claviers, Gil Mortio à la guitare.

(D’elle à l’Éternité raconte désormais la rencontre sulfureuse d’un paysan de Schaerbeek et de la première Witloof, troublante créature de l’obscurité, Galatée maraîchère ; La Malédiction de Milhaven devient un long dub crasseux, etc.)

L’interprétation permissive et sa dimension live et versatile font du VRAI NICK CAVE un groupe de baloche dont les préoccupations sont le jazz et le contrafactum médiéval.

La propension du groupe à improviser et l’utilisation d’instruments locaux mais non moins étranges — et peut-être même uniques — le rommelpot électrique ou la bière électrique (boîte de bière équipée d’un micro, à usage unique pour chaque concert) — donnent naissance à des concerts singuliers et marquants.

LE VRAI NICK CAVE, c’est un concept, c’est une performance, c’est un barbecue australien dans le Brabant wallon. Pour vraiment s’en rendre compte, il faut y assister.

LE VRAI NICK CAVE 

next to his swimming pool

in Saint Tropez, France

© 2025 - Studio Marcel Delcourt

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